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LE VENT DES PEUPLIERS
Sur la terrasse d’un hospice d’anciens combattants de la Grande Guerre, trois pensionnaires aux tempéraments bien marqués s’apprêtent à fuir l’ennui d’une vie dominée par l’approche de la mort…peut-être hâtée par Soeur Madeleine.
Entre faire un pique-nique et gagner l’Indochine Française, le choix est fait de partir « là haut », vers les peupliers, là où le vent souffle…
Le dialogue plein d’humour, de cruauté et d’humanité s’inscrit entre la réalité du quotidien et le rêve d’un ailleurs encore possible. Cette comédie côté Labiche est très drôle et on rit beaucoup. Mais, en filigrane, se profile le drame existentiel qui fait songer à Tchekhov et à Beckett. C’est cette double référence qui fait tout l’intérêt de cette pièce de Gerald Sibleyras, un auteur contemporain auquel on doit des succès récents : Un petit jeu sans importance et La danse de l’Albatros…
Le Vent des peupliers a été créé en 2002 au Théâtre Montparnasse, dans une mise en scène de Jean-Luc Tardieu avec Georges Wilson, Jacques Seyrès et Maurice Chevit.

 

L’Atelier Saint-Jacques est une troupe de comédiens amateurs, entre Saint-Etienne et Lyon qui, depuis plus de trente ans, jouent au profit d’associations à but humanitaire, avec, jusqu’à maintenant, un répertoire classique : Molière : « Le Médecin malgré lui », « Georges Dandin », Goldoni : « Molière », « La Veuve Convoitée », Feydeau : « Chat en poche », Tchekhov : « Oncle Vania », Ionesco : « Le Roi se meurt » Jacques Robert : « Marie-Octobre »…